Vous avez sûrement du déjà entendre parler du concept de génération Y ? Ce sont ces jeunes nés entre 1980 et 1996 souvent aussi appelés » digital natives » parce qu’ayant grandi avec les nouvelles technologies et l’avènement d’internet.
Cette génération aujourd’hui sur le marché de l’emploi fait partie ou va faire partie de vos collaborateurs.
Sur le blog Ciel Telecom, on a décidé cette semaine de vous présenter les atouts de ceux que l’on appelle aussi les millienals.
Cette génération se caractérise par un sentiment d’indépendance, d’autogestion et de liberté.
De ce fait, les personnes issues de la génération Y présentent de fortes capacités à être autonome dans leur travail.
Les millenials sont flexibles aux changements . Vous pourrez donc parfaitement mettre en place de nouveaux systΦ\èmes dans votre entreprise sans que cette génération soit pertubée .
« La Génération Y est habituée aux changements constants et répétitifs de tout ce qui les entoure. On peut même penser qu’elle a développé une certaine addiction à toutes ces mises à jours et les attend avec impatience. »
Cette génération vit mal la hiérarchie. Il vous faudra donc effacer les barrières afin de leur laisser la liberté de s’exprimer .
Alors, comment s’y prendre ? « Ce qui ne fonctionne pas, c’est l’injonction, la consigne », explique Christine Charlotin. Pour conserver leur attention, mieux vaut privilégier des « stand-up meetings » de dix minutes aux réunions assis autour d’une table. « Les écouteurs dans les oreilles, ça ne les empêche pas non plus de travailler,ajoute-t-elle. Oui, ils risquent de rester à la surface et de faire des erreurs mais, de toute façon, ils revendiquent le droit à l’erreur. » Jean-Luc Excousseau, sociologue, auteur de La Mosaïque des générations (520 pages, Eyrolles) et cofondateur de l’Association du marketing générationnel, décrit une génération à l’expérience professionnelle hachée, « toujours borderline », qu’il faut « cadrer et recadrer » sans cesse. « Il est indispensable de leur envoyer des feedbacks immédiats sur leur travail », confirme Christine Charlotin.
La communication descendante, c’est fini. Nous donnons la parole aux équipes, organisons des “chats” réguliers avec la direction générale. Il faut être prêt à tout entendre ! Mais on y trouve notre compte, en termes d’idées ou d’innovations », témoigne, de son côté, Elisabeth Carpentier, DRH de Sodexo. »
Enfin cette génération a le pouvoir de changer le monde », s’enthousiasme Emmanuelle Duez, 29 ans, fondatrice de The Boson Project, un cabinet de consultant spécialisé dans le capital humain des entreprises : « C’est une histoire d’alignement de planètes. »
Que vous soyez séduit ou pas par cette génération, il vous faudra vite comprendre les attentes de ces jeunes car d’ici 2025 ils représenteront 75% des actifs.